Un peu de géographie et d'histoire locale
La commune de Salnt-Laurent-en-Brionnais
Le Brionnais : un pays de caractère d'une grande beauté
Le Brionnais est situé à l'extrémité sud-ouest du département de Saône-et-Loire, dans la partie sud de la Bourgogne. Il est bordé au Nord par le Charolais, limité à l'Ouest par le fleuve Loire et au Sud par le Sornin, et s'appuie à l'Est sur les monts du Beaujolais. Le pays est encadré par les départements de l'Allier, de la Loire et du Rhône.
Le climat est semi continental. L'hiver est souvent marqué par des journées ensoleillées et glaciales. Les étés peuvent être chauds, avec des pluies bienfaisantes. Hiver comme été, le ciel s'embrase au crépuscule de couleurs orangées qui illuminent les façades des églises et des vieux hôtels.
Dans ce petit coin à vocation rurale, la nature est bien préservée. Vous apprécierez, au détour de chaque petite route, sentier ou chemin creux, bordé de haies vives ou de murets en pierre sèches, des paysages tantôts vallonnés, boisés ou bien découverts.
A perte de vue s'étendent de riches prairies verdoyantes où paissent tranquillement les bœufs blancs, car ici vous êtes dans le berceau de la race charolaise.
Saint-Laurent-en-Brionnais se situe au sud de la région Bourgogne, dans le département de la Saône-et-Loire et dans le Pays du Charolais-Brionnais. Avec Saint-Laurent-d'Andenay à 70 km plus au nord, ces deux communes représentent les seuls Saint-Laurent Bourguignons.
Le village compte officiellement 422 habitants répartis sur 1298 hectares, au cœur du Brionnais dans une agréable région verte et vallonnée. Il n'y a aujourd'hui plus aucun commerce, mais la vie associative est très bien implantée avec 6 associations.
Plusieurs manifestations importantes s'y déroulent chaque année, notamment : la Nuit de la musique celtique (début juin) et la Marche de la crêpe (mi-octobre). A proximité du chef-lieu de canton de La Clayette, Saint-Laurent-en-Brionnais compte dans ses environs de nombreux et magnifiques châteaux.
D'autre part, des circuits pédestres vous permettent de goûter au calme et à la tranquillité de la campagne environnante et de rejoindre son point culminant à 466 m. situé sur le Haut-des-Révillets, d'où l'on peut voir dix sept clochers par temps clair, et sur l'autre bout de la commune au lieu dit Corson, les ruines d'une tour d'un ancien château.
Lorsque vous approchez de Saint-Laurent-en-Brionnais, vous ne pouvez pas quitter des yeux le clocher de son église qui siège au cœur de ce petit village, et les routes qui y conduisent vous placent sans aucun détour au pied de cet édifice, fleuron du patrimoine roman local.
Le Brionnais est situé à l'extrémité sud-ouest du département de Saône-et-Loire, dans la partie sud de la Bourgogne. Il est bordé au Nord par le Charolais, limité à l'Ouest par le fleuve Loire et au Sud par le Sornin, et s'appuie à l'Est sur les monts du Beaujolais. Le pays est encadré par les départements de l'Allier, de la Loire et du Rhône.
Le climat est semi continental. L'hiver est souvent marqué par des journées ensoleillées et glaciales. Les étés peuvent être chauds, avec des pluies bienfaisantes. Hiver comme été, le ciel s'embrase au crépuscule de couleurs orangées qui illuminent les façades des églises et des vieux hôtels.
Dans ce petit coin à vocation rurale, la nature est bien préservée. Vous apprécierez, au détour de chaque petite route, sentier ou chemin creux, bordé de haies vives ou de murets en pierre sèches, des paysages tantôts vallonnés, boisés ou bien découverts.
A perte de vue s'étendent de riches prairies verdoyantes où paissent tranquillement les bœufs blancs, car ici vous êtes dans le berceau de la race charolaise.
Saint-Laurent-en-Brionnais se situe au sud de la région Bourgogne, dans le département de la Saône-et-Loire et dans le Pays du Charolais-Brionnais. Avec Saint-Laurent-d'Andenay à 70 km plus au nord, ces deux communes représentent les seuls Saint-Laurent Bourguignons.
Le village compte officiellement 422 habitants répartis sur 1298 hectares, au cœur du Brionnais dans une agréable région verte et vallonnée. Il n'y a aujourd'hui plus aucun commerce, mais la vie associative est très bien implantée avec 6 associations.
Plusieurs manifestations importantes s'y déroulent chaque année, notamment : la Nuit de la musique celtique (début juin) et la Marche de la crêpe (mi-octobre). A proximité du chef-lieu de canton de La Clayette, Saint-Laurent-en-Brionnais compte dans ses environs de nombreux et magnifiques châteaux.
D'autre part, des circuits pédestres vous permettent de goûter au calme et à la tranquillité de la campagne environnante et de rejoindre son point culminant à 466 m. situé sur le Haut-des-Révillets, d'où l'on peut voir dix sept clochers par temps clair, et sur l'autre bout de la commune au lieu dit Corson, les ruines d'une tour d'un ancien château.
Lorsque vous approchez de Saint-Laurent-en-Brionnais, vous ne pouvez pas quitter des yeux le clocher de son église qui siège au cœur de ce petit village, et les routes qui y conduisent vous placent sans aucun détour au pied de cet édifice, fleuron du patrimoine roman local.
L'histoire de Saint-Laurent-en-Brionnais
L'église sous le feu d'artifice
Saint-Laurent-en-Brionnais apparaît dans les textes au XIème siècle. À cette époque, le Brionnais, aux confins de l'Auvergne et de la Bourgogne, est couvert de forêts, parcouru par quelques routes entre les vallées de la Saône et de la Loire qui sont contrôlées par des places fortes. Plusieurs d'entre elles, entre Semur et Mâcon, telles celle du mont Dun, sont tenues par la puissante famille des Le Blanc dont les possessions s'égrènent du Forez au Mâconnais. En 1037, sur le point de partir en pèlerinage en Terre Sainte, Archimbaud Le Blanc, vicomte de Mâcon, donne à l'abbaye de Cluny l'église de Saint-Laurent avec toutes ses terres et revenus. À son retour de Jérusalem en 1039, il confirme cette donation, donne encore un domaine sous la condition que Cluny se dotera d'une maison à Saint-Laurent. Et en effet, au début du XIIème siècle une obédience (dite aussi prieuré ou doyenné), où quelques moines entourés de domestiques et de manouvriers gèrent les biens de l'abbaye de Cluny dans la contrée. L'église, qui fait fonction d'église paroissiale, est rebâtie au début du XIIème siècle, le beau clocher édifié vers 1110-1120, certainement à l'initiative et aux frais de l'abbaye. Les Le Blanc contribuent encore à la fondation de l'abbaye voisine de Saint Rigaud (commune de Ligny-en-Brionnais) en 1067, et celle de la Benisson-Dieu en 1140. Mais, dans la deuxième moitié du XIIème siècle, ils se joignent aux comtes de Chalon, de Mâcon et aux sires de Beaujeu qui mettent le Sud de la Bourgogne en coupe réglée. Il faudra une opération de police conduite par le Roi de France, lui même, Philippe Auguste, en 1180, pour rétablir la paix dans la région. Leur place forte de Dun démantelée, les Le Blanc disparaissent peu après.
Un village s'est formé autour de l'église et de l'éta-blissement clunisien de Saint-Laurent-Briennensis ou en Brionnois, dont on ne sait rien cependant, sinon qu'il a dû être un bourg important et prospère encore à la fin du XVème siècle et au début du XVIème siècle. En témoignent les belles maisons anciennes que l'on peut voir en face de l'église (dont l'une est précédée d'un porche daté de 1516), ou le château de Joux derrière l'église. Mais, autour de 1570, des troupes protestantes ravagent le Brionnais, incendiant et détruisant les établissements monastiques dont, probablement le doyenné de Saint-Laurent.
Il n'en subsiste aucune trace, les ruines de celui-ci ayant longtemps servi de carrière de pierre aux habitants de Saint-Laurent, comme le prouvent les pierres taillées et sculptées anciennes que l'on trouve réemployées dans les murs de plusieurs constructions de la commune. Claude de Guisé, abbé de Cluny, le vend en 1592 à la Dame de la Bazolle. Les seigneurs du château de Drée seront désormais justiciers de Saint-Laurent. Quant à l'église, elle a souffert du feu et il est bien possible que la nef, partiellement détruite, ait dû être rebâtie au XVIIème siècle. Durant la révolution, Saint-Laurent abrite et protège un prêtre réfractaire, l'abbé Nicolas Montmessin, de Saint-Julien-de-Civry, qui de 1794 à 1798, évangélise tout le Brionnais. Curé de Saint-Laurent en 1802, il fonde de ses deniers et commence la construction du pensionnat de jeunes filles qui, de 1822 à 1965, va faire la renommée de la commune, comptant jusqu'à 400 élèves.
Celles-ci, dessin et musique inclus, reçoivent une excellente éducation bourgeoise et religieuse délivrée par des religieuses, les sœurs du Saint-Sacrement.
En 1843, la commune compte près de 1000 habitants et le curé Farges obtient la démolition de la nef ancienne de l'église et la construction en 1845-1847, d'une nef plus vaste et haute, à bas-côté, voûtes d'arêtes. Le chœur et le clocher romans, classé monument en 1874, seront restaurés en 1877-1879. la courte flèche couverte d'ardoise date de cette campagne de travaux.
Jusqu'au XIXème siècle, les habitants du Brionnais ont du produire à peu près tout ce qui leur était nécessaire pour vivre. Au milieu du siècle, la commune qui s'étend sur 1299 ha, compte 749 ha de terres labourables, 17 ha de vignes et 58 de bois. Elle possède moulins à blé et à huile, carrières de pierre à bâtir et à chaux, tuileries. La présence de mines de charbon, dans la commune voisine de la Chapelle sous Dun, incite à rechercher de la houille dans le sous-sol de Saint-Laurent, mais sans succès. Le sol calcaire, en grande partie sablonneux, est bon et bien cultivé. Mais les prairies (475 ha) sont jugées excellentes et l'élevage du bétail va peu à peu se développer grâce aux foires de Saint-Christophe-en-Brionnais.
En un demi-siècle à peine, le paysage va changer : dans les premières années du XXème siècle alors que les terres labourables (292 ha), les bois (14 ha) et les vignes (13 ha) régressent, ces dernières de façon moins marquée, la superficie des prairies double presque (886 ha) et la commune se spécialise dans « le commerce du bétail gras, l'élevage de génisse ». Mais , dans la seconde moitié du XXème siècle, alors que tout le paysage de Saint-Laurent ne présente plus guère que des prairies coupées de haies, poussées sur de vieux murets de pierres et semées de quelques bois et bosquets, la population active cesse d'être majoritairement agricole. Il est vrai qu'en diminution constante depuis le milieu du XIXème siècle, comme dans la grande majorité des communes rurales françaises, la population est aujourd'hui tombée au-dessous de 400 habitants. Si les enfants doivent aller étudier puis travailler parfois fort loin, le Brionnais attire une nouvelle population d'actifs et de retraités, français et étrangers, qui s'établissent à Saint-Laurent. En effet, 33 des 230 maisons sont des résidences secondaires.
Saint-Laurent-en-Brionnais a compté, au Moyen-Âge, trois châteaux dont seul subsiste celui de Joux au Bourg ; de celui de Corson, il ne reste qu'une tour et celui du Vigneau à Montailloux, a complètement disparu. On remarquera la belle demeure des Mathys, au Nord du bourg, qui était celle des notaires Ducray à la fin du XVIIIème siècle, et quelques grosses maisons bourgeoises édifiées autour de 1900 par des éleveurs enrichis dans le commerce du bétail. Au centre bourg, l'ancien pensionnat devenu monastère est le siège d'une communauté religieuse d'inspiration franciscaine, en cours de formation.
Sources : Catherine Marion, maire de Saint-Laurent-en-Brionnais.
Un village s'est formé autour de l'église et de l'éta-blissement clunisien de Saint-Laurent-Briennensis ou en Brionnois, dont on ne sait rien cependant, sinon qu'il a dû être un bourg important et prospère encore à la fin du XVème siècle et au début du XVIème siècle. En témoignent les belles maisons anciennes que l'on peut voir en face de l'église (dont l'une est précédée d'un porche daté de 1516), ou le château de Joux derrière l'église. Mais, autour de 1570, des troupes protestantes ravagent le Brionnais, incendiant et détruisant les établissements monastiques dont, probablement le doyenné de Saint-Laurent.
Il n'en subsiste aucune trace, les ruines de celui-ci ayant longtemps servi de carrière de pierre aux habitants de Saint-Laurent, comme le prouvent les pierres taillées et sculptées anciennes que l'on trouve réemployées dans les murs de plusieurs constructions de la commune. Claude de Guisé, abbé de Cluny, le vend en 1592 à la Dame de la Bazolle. Les seigneurs du château de Drée seront désormais justiciers de Saint-Laurent. Quant à l'église, elle a souffert du feu et il est bien possible que la nef, partiellement détruite, ait dû être rebâtie au XVIIème siècle. Durant la révolution, Saint-Laurent abrite et protège un prêtre réfractaire, l'abbé Nicolas Montmessin, de Saint-Julien-de-Civry, qui de 1794 à 1798, évangélise tout le Brionnais. Curé de Saint-Laurent en 1802, il fonde de ses deniers et commence la construction du pensionnat de jeunes filles qui, de 1822 à 1965, va faire la renommée de la commune, comptant jusqu'à 400 élèves.
Celles-ci, dessin et musique inclus, reçoivent une excellente éducation bourgeoise et religieuse délivrée par des religieuses, les sœurs du Saint-Sacrement.
En 1843, la commune compte près de 1000 habitants et le curé Farges obtient la démolition de la nef ancienne de l'église et la construction en 1845-1847, d'une nef plus vaste et haute, à bas-côté, voûtes d'arêtes. Le chœur et le clocher romans, classé monument en 1874, seront restaurés en 1877-1879. la courte flèche couverte d'ardoise date de cette campagne de travaux.
Jusqu'au XIXème siècle, les habitants du Brionnais ont du produire à peu près tout ce qui leur était nécessaire pour vivre. Au milieu du siècle, la commune qui s'étend sur 1299 ha, compte 749 ha de terres labourables, 17 ha de vignes et 58 de bois. Elle possède moulins à blé et à huile, carrières de pierre à bâtir et à chaux, tuileries. La présence de mines de charbon, dans la commune voisine de la Chapelle sous Dun, incite à rechercher de la houille dans le sous-sol de Saint-Laurent, mais sans succès. Le sol calcaire, en grande partie sablonneux, est bon et bien cultivé. Mais les prairies (475 ha) sont jugées excellentes et l'élevage du bétail va peu à peu se développer grâce aux foires de Saint-Christophe-en-Brionnais.
En un demi-siècle à peine, le paysage va changer : dans les premières années du XXème siècle alors que les terres labourables (292 ha), les bois (14 ha) et les vignes (13 ha) régressent, ces dernières de façon moins marquée, la superficie des prairies double presque (886 ha) et la commune se spécialise dans « le commerce du bétail gras, l'élevage de génisse ». Mais , dans la seconde moitié du XXème siècle, alors que tout le paysage de Saint-Laurent ne présente plus guère que des prairies coupées de haies, poussées sur de vieux murets de pierres et semées de quelques bois et bosquets, la population active cesse d'être majoritairement agricole. Il est vrai qu'en diminution constante depuis le milieu du XIXème siècle, comme dans la grande majorité des communes rurales françaises, la population est aujourd'hui tombée au-dessous de 400 habitants. Si les enfants doivent aller étudier puis travailler parfois fort loin, le Brionnais attire une nouvelle population d'actifs et de retraités, français et étrangers, qui s'établissent à Saint-Laurent. En effet, 33 des 230 maisons sont des résidences secondaires.
Saint-Laurent-en-Brionnais a compté, au Moyen-Âge, trois châteaux dont seul subsiste celui de Joux au Bourg ; de celui de Corson, il ne reste qu'une tour et celui du Vigneau à Montailloux, a complètement disparu. On remarquera la belle demeure des Mathys, au Nord du bourg, qui était celle des notaires Ducray à la fin du XVIIIème siècle, et quelques grosses maisons bourgeoises édifiées autour de 1900 par des éleveurs enrichis dans le commerce du bétail. Au centre bourg, l'ancien pensionnat devenu monastère est le siège d'une communauté religieuse d'inspiration franciscaine, en cours de formation.
Sources : Catherine Marion, maire de Saint-Laurent-en-Brionnais.
Etaient présents du nord au sud de la France et de la Guyane à Saint-Laurent-en-Brionnais
1 - Saint-Laurent-en-Brionnais (71)
2 - Saint-Laurent (23)
3 - Saint-Laurent (74)
4 - Saint-Laurent-Blangy (62)
5 - Saint-Laurent-d'Agny (69)
6 - Saint-Laurent-d'Andenay (71)
7 - Saint-Laurent-d'Aigouze (30)
8 - Saint-Laurent-d'Arce (33)
9 - Saint-Laurent-de-Carnols (30)
10 - Saint-Laurent-de-Cerdans (66)
11 - Saint-Laurent-de-Chamousset (69)
12 - Saint-Laurent-de-Cognac (16)
13 - Saint-Laurent-de-Cuves (50)
14 - Saint-Laurent-de-Gosse (40)
15 - Saint-Laurent-de-la-Cabrerisse (11)
16 - Saint-Laurent-de-la-Plaine (49)
17 - Saint-Laurent-de-Lin (37)
18 - Saint-Laurent-de-Mure (69)
19 - Saint-Laurent-de-Vaux (69)
20 - Saint-Laurent-des-Autels (49)
21 - Saint-Laurent-des-Combes (33)
22 - Saint-Laurent-des-Hommes (24)
23 - Saint-Laurent-des-Vignes (24)
24 - Saint-Laurent-d'Oingt (69)
25 - Saint-Laurent-du-Bois (33)
26 - Saint-Laurent-du-Mottay (49)
27 - Saint-Laurent-du-Tencement (27)
28 - Saint-Laurent-du-Var (06)
29 - Saint-Laurent-en-Gâtines (37)
30 - Saint-Laurent-la-Conche (42)
31 - Saint-Laurent-Nouan (41)
32 - Saint-Laurent-Rochefort (42)
33 - Saint-Laurent-sur-Mer (14)
34 - Saint-Laurent-sur-Oust (56)
35 - Saint-Laurent-du-Maroni (973)
2 - Saint-Laurent (23)
3 - Saint-Laurent (74)
4 - Saint-Laurent-Blangy (62)
5 - Saint-Laurent-d'Agny (69)
6 - Saint-Laurent-d'Andenay (71)
7 - Saint-Laurent-d'Aigouze (30)
8 - Saint-Laurent-d'Arce (33)
9 - Saint-Laurent-de-Carnols (30)
10 - Saint-Laurent-de-Cerdans (66)
11 - Saint-Laurent-de-Chamousset (69)
12 - Saint-Laurent-de-Cognac (16)
13 - Saint-Laurent-de-Cuves (50)
14 - Saint-Laurent-de-Gosse (40)
15 - Saint-Laurent-de-la-Cabrerisse (11)
16 - Saint-Laurent-de-la-Plaine (49)
17 - Saint-Laurent-de-Lin (37)
18 - Saint-Laurent-de-Mure (69)
19 - Saint-Laurent-de-Vaux (69)
20 - Saint-Laurent-des-Autels (49)
21 - Saint-Laurent-des-Combes (33)
22 - Saint-Laurent-des-Hommes (24)
23 - Saint-Laurent-des-Vignes (24)
24 - Saint-Laurent-d'Oingt (69)
25 - Saint-Laurent-du-Bois (33)
26 - Saint-Laurent-du-Mottay (49)
27 - Saint-Laurent-du-Tencement (27)
28 - Saint-Laurent-du-Var (06)
29 - Saint-Laurent-en-Gâtines (37)
30 - Saint-Laurent-la-Conche (42)
31 - Saint-Laurent-Nouan (41)
32 - Saint-Laurent-Rochefort (42)
33 - Saint-Laurent-sur-Mer (14)
34 - Saint-Laurent-sur-Oust (56)
35 - Saint-Laurent-du-Maroni (973)
Programme du rassemblement:
Bœufs blancs de la race charolaise
Vendredi 3 juillet.
- À partir de 17h.00 - Accueil des délégations
- 18h.00 - Réunion du Conseil d'administration
- 20h.00 - Repas dansant
Samedi 4 juillet.
- 08h.00 à 12h.00 - Accueil des délégations
- À partir de 08h.00 - Excursions (7 circuits touristiques dans le Pays Charolais-Brionnais)
- 10h.00 - Réunions des commissions
- 13h.00 - Repas et animations
- 15h.00 - Ouverture des expositions gastronomiques et artisanales
-15h.00 - Assemblée générale de l'Association nationale
-17h.30 - Messe avec la participation des cors de chasse
- 19h.00 - Inauguration de la stèle suivi d'un vin d'honneur
- 20h.30 - Repas dansant et animations
Dimanche 5 juillet.
- 08h.00 - Excursions touristiques et randonnée pédestre
- 09h.00 - Expositions
- 13h.00 - Repas
- 15h.00 - Expositions
- 15h.00 - Jeux intervillages
- 19h.30 - Repas dansant et animations
- 23h.00 - Feu d'artifice
Pour consulter l'album photo, cliquez ICI
- À partir de 17h.00 - Accueil des délégations
- 18h.00 - Réunion du Conseil d'administration
- 20h.00 - Repas dansant
Samedi 4 juillet.
- 08h.00 à 12h.00 - Accueil des délégations
- À partir de 08h.00 - Excursions (7 circuits touristiques dans le Pays Charolais-Brionnais)
- 10h.00 - Réunions des commissions
- 13h.00 - Repas et animations
- 15h.00 - Ouverture des expositions gastronomiques et artisanales
-15h.00 - Assemblée générale de l'Association nationale
-17h.30 - Messe avec la participation des cors de chasse
- 19h.00 - Inauguration de la stèle suivi d'un vin d'honneur
- 20h.30 - Repas dansant et animations
Dimanche 5 juillet.
- 08h.00 - Excursions touristiques et randonnée pédestre
- 09h.00 - Expositions
- 13h.00 - Repas
- 15h.00 - Expositions
- 15h.00 - Jeux intervillages
- 19h.30 - Repas dansant et animations
- 23h.00 - Feu d'artifice
Pour consulter l'album photo, cliquez ICI
Le samedi 4 juillet, la stèle commémorative du 10ème rassemblement était inaugurée.
Vincent Augagneur
Vincent Augagneur, président de l'Association locale saluait les participants en ces termes:
« Il y a 18 ans, en 1991, le premier rassemblement des Saint-Laurent de France, sous la houlette de Pierre Reynaud, se déroulait à la frontière espagnole à Saint-Laurent-de-Cerdans.
J'étais présent avec mes parents et leurs amis, je ne pensais pas qu'un jour ce serait chez nous et encore moins que je serai président de l'Association (locale) des Saint-Laurent de France 2009.
35 Saint-Laurent sont présents dans ce petit village d'à peine 400 habitants situé en bas de la Saône-et-Loire et bien entendu dans la Bourgogne du Sud.
Il y a un homme ou plutôt deux qui sont heureux de vous voir si nombreux ces jours-ci dans ce village. Oui, c'est en 2006, à Saint-Laurent-de-Cuves qu'ils ont posé la candidature de leur commune à ce rassemblement, un pari fou mais combien excitant.
Ce pari ils y ont pensé, réfléchi, pesé le pour, le contre et puis ce jour en Normandie, ils ont dit oui, oui on y va pour de bon.
Ce pari fou se concrétise aujourd'hui.
Ces deux hommes, ce sont mon père, Bernard Augagneur et son ami, notre ami, Patrick Maniora.
Madame le maire, ce projet vous l'avez poursuivi avec votre conseil municipal et je vous en remercie.
Il est vrai qu’en février-mars, vu la conjoncture actuelle, nous avons hésité avant de continuer. Mais chez nous, on dit - si on veut s'en sortir, il ne faut pas rester les deux pieds dans le même sabot - et cela n'a pas été le cas, je vous le garantis.
Et vous voilà toutes et tous amis des Saint-Laurent de France, chez nous en Brionnais dans le berceau de la race charolaise.
En Saône-et-Loire, nous sommes deux Saint-Laurent, mes amis de Saint-Laurent-d'Andenay, travaillant largement avec nous à ce projet et je vous en remercie et trois en Bourgogne, avec celui qui se trouve dans la Nièvre (Saint-Laurent-de-l'Abbaye)
Je voudrais que ce rassemblement se passe bien et que cela vous donne envie de revenir plus longtemps visiter ce beau pays.
Saint Laurentins, Saint Laurentines, nous venons de découvrir cette stèle qui est l'œuvre d'un artiste du coin, Vincent Geoffray de Paray-le-Monial.
Que représente-t-elle ?
D'abord la pierre - regardez autour de vous - typique de ce petit pays, ensuite le dessin, l'escargot ou plutôt l'ammonite - très souvent présente dans nos murs.
Bref, ce rassemblement est le dixième rassemblement - petit rassemblement - comme on avait l'habitude de dire.
Va-t-on réussir ?
Je crois que c'est déjà fait. Votre sourire depuis vendredi nous le prouve tout simplement.
Maintenant, amis Laurentines, Laurentins, Laurentaises, Laurentais, je vous dis au nom de l'Association Saint-Laurent de France 2009, merci, merci, merci.
Continuez bien cette fête et n'oubliez pas, nous sommes tous de Saint-Laurent.»
« Il y a 18 ans, en 1991, le premier rassemblement des Saint-Laurent de France, sous la houlette de Pierre Reynaud, se déroulait à la frontière espagnole à Saint-Laurent-de-Cerdans.
J'étais présent avec mes parents et leurs amis, je ne pensais pas qu'un jour ce serait chez nous et encore moins que je serai président de l'Association (locale) des Saint-Laurent de France 2009.
35 Saint-Laurent sont présents dans ce petit village d'à peine 400 habitants situé en bas de la Saône-et-Loire et bien entendu dans la Bourgogne du Sud.
Il y a un homme ou plutôt deux qui sont heureux de vous voir si nombreux ces jours-ci dans ce village. Oui, c'est en 2006, à Saint-Laurent-de-Cuves qu'ils ont posé la candidature de leur commune à ce rassemblement, un pari fou mais combien excitant.
Ce pari ils y ont pensé, réfléchi, pesé le pour, le contre et puis ce jour en Normandie, ils ont dit oui, oui on y va pour de bon.
Ce pari fou se concrétise aujourd'hui.
Ces deux hommes, ce sont mon père, Bernard Augagneur et son ami, notre ami, Patrick Maniora.
Madame le maire, ce projet vous l'avez poursuivi avec votre conseil municipal et je vous en remercie.
Il est vrai qu’en février-mars, vu la conjoncture actuelle, nous avons hésité avant de continuer. Mais chez nous, on dit - si on veut s'en sortir, il ne faut pas rester les deux pieds dans le même sabot - et cela n'a pas été le cas, je vous le garantis.
Et vous voilà toutes et tous amis des Saint-Laurent de France, chez nous en Brionnais dans le berceau de la race charolaise.
En Saône-et-Loire, nous sommes deux Saint-Laurent, mes amis de Saint-Laurent-d'Andenay, travaillant largement avec nous à ce projet et je vous en remercie et trois en Bourgogne, avec celui qui se trouve dans la Nièvre (Saint-Laurent-de-l'Abbaye)
Je voudrais que ce rassemblement se passe bien et que cela vous donne envie de revenir plus longtemps visiter ce beau pays.
Saint Laurentins, Saint Laurentines, nous venons de découvrir cette stèle qui est l'œuvre d'un artiste du coin, Vincent Geoffray de Paray-le-Monial.
Que représente-t-elle ?
D'abord la pierre - regardez autour de vous - typique de ce petit pays, ensuite le dessin, l'escargot ou plutôt l'ammonite - très souvent présente dans nos murs.
Bref, ce rassemblement est le dixième rassemblement - petit rassemblement - comme on avait l'habitude de dire.
Va-t-on réussir ?
Je crois que c'est déjà fait. Votre sourire depuis vendredi nous le prouve tout simplement.
Maintenant, amis Laurentines, Laurentins, Laurentaises, Laurentais, je vous dis au nom de l'Association Saint-Laurent de France 2009, merci, merci, merci.
Continuez bien cette fête et n'oubliez pas, nous sommes tous de Saint-Laurent.»
Ensuite, Pierre Reynaud, président d'honneur, s'adressait aux élus et au public:
Pierre Reynaud
«Je dois tout d'abord excuser l'absence de notre président en exercice, Jean-Pierre Lapeyre, retenu par des obligations personnelles, et qui m'a chargé de vous trans-mettre ses plus cordiales et fidèles amitiés.
C'est donc avec un grand plaisir, mais aussi une grande fierté que je vais m'efforcer de le remplacer au mieux dans cette fonction… ce qui d'ailleurs me rajeunira passablement.
En effet qui aurait pu penser, en ce mois de juillet 1991, à Saint-Laurent-de-Cerdans, que l'initiative - un peu folle, il faut le reconnaître - que nous avions lancée, allait nous entraîner aussi loin ? Qui aurait pu imaginer un seul instant que 18 ans plus tard, 35 communes sur les 39 que compte notre Association, portant le nom Saint-Laurent, seraient rassemblées ici, à Saint-Laurent-en-Brionnais, petit village de Saône-et-Loire pour y affirmer une nouvelle fois leur union et leur indéfectible amitié ?
Pour parapher une citation célèbre je dirai : « Qu'elles qu'aient été les difficultés, puisqu'il y avait une volonté, il y eu un chemin ! » chemin pas toujours facile, il faut le dire, mais que nous avons parcouru ensemble, avec une foi et un enthou-siasme qui ne se sont jamais démentis tout au long de ces années.
Aussi aujourd'hui nous devons tous nous réjouir et être fier de ce que nous avons créé : toute ces amitiés fidèles, ces échanges multiples, tous ces liens qui nous unissent et qui, quoi qu'il arrive resteront à jamais… et cela dans la diversité de nos sensibi-lités, de nos terroirs, de nos accents - il n'y a qu'à m'écouter - qui font la richesse de notre pays, de cette France profonde où la notion de lien social garde encore toute sa pleine et entière signification.
Tous ces liens qu'il nous appartient de renforcer encore à l'avenir, notamment à travers cet outil remarquable que constitue Internet… c'est pourquoi, je vous recommande d'utiliser plus que jamais notre, votre site, des Saint-Laurent de France si remarquablement géré par notre ami Yvan.
Toutes générations confondues (et il suffit de regarder autour de nous pour s'en convaincre) nous devons œuvrer dans le même esprit pour relever, à chaque fois cet énorme challenge qui nous permet notamment de nous retrouver tous les ans dans un de nos villages.
Je voudrais terminer en ayant tout d'abord une pensée pour ceux qui au fil des années nous ont hélas quitté : Didier, Jean-Marie et tous les autres, élus, responsables ou acteurs anonymes qui nous ont aidé à devenir ce que nous sommes aujourd'hui.
Enfin, bien sûr, terminer en félicitant les organisateurs de ce magnifique rassemblement, tous les bénévoles mobilisés qui ont brillamment relevé le défi qu'ils s'étaient lancés, sans oublier de remer-cier aussi ceux qui les ont aidés par leur participation, financière ou autre, afin que vive longtemps encore l'Association Nationale des Saint-laurent de France !»
C'est donc avec un grand plaisir, mais aussi une grande fierté que je vais m'efforcer de le remplacer au mieux dans cette fonction… ce qui d'ailleurs me rajeunira passablement.
En effet qui aurait pu penser, en ce mois de juillet 1991, à Saint-Laurent-de-Cerdans, que l'initiative - un peu folle, il faut le reconnaître - que nous avions lancée, allait nous entraîner aussi loin ? Qui aurait pu imaginer un seul instant que 18 ans plus tard, 35 communes sur les 39 que compte notre Association, portant le nom Saint-Laurent, seraient rassemblées ici, à Saint-Laurent-en-Brionnais, petit village de Saône-et-Loire pour y affirmer une nouvelle fois leur union et leur indéfectible amitié ?
Pour parapher une citation célèbre je dirai : « Qu'elles qu'aient été les difficultés, puisqu'il y avait une volonté, il y eu un chemin ! » chemin pas toujours facile, il faut le dire, mais que nous avons parcouru ensemble, avec une foi et un enthou-siasme qui ne se sont jamais démentis tout au long de ces années.
Aussi aujourd'hui nous devons tous nous réjouir et être fier de ce que nous avons créé : toute ces amitiés fidèles, ces échanges multiples, tous ces liens qui nous unissent et qui, quoi qu'il arrive resteront à jamais… et cela dans la diversité de nos sensibi-lités, de nos terroirs, de nos accents - il n'y a qu'à m'écouter - qui font la richesse de notre pays, de cette France profonde où la notion de lien social garde encore toute sa pleine et entière signification.
Tous ces liens qu'il nous appartient de renforcer encore à l'avenir, notamment à travers cet outil remarquable que constitue Internet… c'est pourquoi, je vous recommande d'utiliser plus que jamais notre, votre site, des Saint-Laurent de France si remarquablement géré par notre ami Yvan.
Toutes générations confondues (et il suffit de regarder autour de nous pour s'en convaincre) nous devons œuvrer dans le même esprit pour relever, à chaque fois cet énorme challenge qui nous permet notamment de nous retrouver tous les ans dans un de nos villages.
Je voudrais terminer en ayant tout d'abord une pensée pour ceux qui au fil des années nous ont hélas quitté : Didier, Jean-Marie et tous les autres, élus, responsables ou acteurs anonymes qui nous ont aidé à devenir ce que nous sommes aujourd'hui.
Enfin, bien sûr, terminer en félicitant les organisateurs de ce magnifique rassemblement, tous les bénévoles mobilisés qui ont brillamment relevé le défi qu'ils s'étaient lancés, sans oublier de remer-cier aussi ceux qui les ont aidés par leur participation, financière ou autre, afin que vive longtemps encore l'Association Nationale des Saint-laurent de France !»
Mme Catherine Marion, maire de Saint-Laurent-en-Brionnais,
saluant les élus présents, faisait connaître tout son plaisir et son honneur à recevoir dans sa petite commune autant de monde et de personna-lités à cette occasion et elle remerciait la population et tous les béné-voles pour avoir répondu aussi massivement présent pour que le succès de cette manifestation soit au rendez-vous.
Occasion qui donnait lieu au village d'immortaliser cet événement, comme dans tous les villages orga-nisateurs, par l'érection d'une stèle.
Cette stèle précisait-elle, dont la gravure - en coquille d'escargot - indique les noms des Saint-Laurent de France présents, et rappelle le dessin de l'ammonite qui est scellée à sa base. Ammonite qui a une histoire, car elle a été trouvée dans une grange du village où elle avait conservé comme porte-bonheur. Ainsi ce porte-bonheur est maintenant associé à la vie du village et à celle des Saint-Laurent-de-France, avec toutes les qualités que l'on voudra lui prêter…
A son tour, M. René Morey, maire de Saint-Laurent-d'Andenay, commune voisine de 1060 habitants située à 70 km plus au Nord, témoignait de sa grande satisfaction à voir la belle réussite de ce rassemblement suite au pari lancé il y a deux ans par Bernard Augagneur. Pari, précisait-il, qu'il fallait oser, mais pari gagnant à 100%.
Occasion qui donnait lieu au village d'immortaliser cet événement, comme dans tous les villages orga-nisateurs, par l'érection d'une stèle.
Cette stèle précisait-elle, dont la gravure - en coquille d'escargot - indique les noms des Saint-Laurent de France présents, et rappelle le dessin de l'ammonite qui est scellée à sa base. Ammonite qui a une histoire, car elle a été trouvée dans une grange du village où elle avait conservé comme porte-bonheur. Ainsi ce porte-bonheur est maintenant associé à la vie du village et à celle des Saint-Laurent-de-France, avec toutes les qualités que l'on voudra lui prêter…
A son tour, M. René Morey, maire de Saint-Laurent-d'Andenay, commune voisine de 1060 habitants située à 70 km plus au Nord, témoignait de sa grande satisfaction à voir la belle réussite de ce rassemblement suite au pari lancé il y a deux ans par Bernard Augagneur. Pari, précisait-il, qu'il fallait oser, mais pari gagnant à 100%.
Alain Gautheron
M. Alain Gautheron, conseiller général du canton de La Clayette, louait le dynamisme des populations régionales et le mérite des hommes et des femmes qui ont su créer leurs entreprises sur ce canton dont l'exemple d'un pur produit local, celui qui fait leur fierté, les grues Potain. Cette entreprise, connue du monde entier est née ici en 1928. A l'image de ces entrepreneurs, il félicite les organisateurs de cette manifestations que les villages alentour prenaient pour des fous à se lancer dans pareille aventure. « Ils deviennent bredins et comment ils vont faire ? » disaient-ils et de poursuivre : « Et moi j'invite les personnes extérieures à la commune de Saint-Laurent-en-Brionias à faire le circuit des églises Romanes de la Région et de se rendre à Saint-Germain-en-Brionnais. A l'intérieur même de l'église, il y a une pierre énorme, et ces gens qui ont critiqué cette démarche, je les invite à se rendre en ces lieux. A côté de cette pierre, il y a un grand trou. Alors vous y mettez votre tête et vous sortez guéri. Alors ce n'est pas tout le temps que ça marche, parce que j'ai essayé et mon épouse n'a jamais trouvé de changement… »
Pour terminer, M. Arnaud Montebourg, président du conseil général de Saône-et-Loire s'adressait au public. Il saluait les élus, collègues locaux, ainsi que tous ceux venus des quatre coins de la France revêtu des insignes de leur fonction. « Je remercie l'ensemble de ces petites Patries, éparpillées dans l'ensemble de notre nation, ce beau pays de France ». Il ventait les mérites de ce grand département de la Saône-et-Loire et de son histoire, patrie de La Martine et de Cluny et grand aussi par sa riche histoire industrielle et son bassin minier. En témoigne à l'entrée du Creusot la présence des grands marteaux-pilons à vapeur que la famille Schneider avait installé dès 1836 comme la chute de cet empire en 1960 appelé alors Creusot-Loire. Aujourd'hui, le Creusot industriel avec la filière nucléaire Areva, a retrouvé le même niveau d'acti-vité qu'à l'époque de la chute de Creusot-Loire. « Notre potentiel agricole est aussi la caractéristique de ce département comme la volaille de Bresse de l'autre côté de la Saône et la grande race charolaise que nous portons à travers le monde, ainsi que la tradition laitière avec notre gruyère de Comté produit de nos vaches montbéliardes… Finalement notre identité qui est la notre montre que nous savons nous rassembler et nous donner la main au-delà de ce que nous sommes, de nos terroirs de notre histoire…Mais finalement nous appartenons à la même nation et je n'ai plus qu'à dire, vive les Saint-Laurent de France, vive la République, vive la France. »
Arnaud Montebourg
Jean-Marc Nesme
Puis, M. le député Jean-Marc Nesme, salut Saint-Laurent-du-Maroni d'être venu d'aussi loin et surtout pour avoir eu la gentillesse de lui avoir fait déguster, à son arrivée, un Ti'Punch remarquable. Il souhaite la bienvenue aux Saint-Laurentais (taises) de France.
« C'est une joie pour le député de cette région, de voir ce rassemblement amical de l'ensemble des Saint-Laurent de France. Et puis un grand bravo aux Saint-Laurentines et Saint-Laurentins du Brionnais. Et je sais que depuis 18 mois maintenant, ils travaillent d'arrache pieds, et surtout avec tout leur cœur pour que ce rassemblement 2009 soit une excellente rencontre familiale entre tous les Saint-Laurent de France et d'Outre-Mer et je voudrais leur dire un très grand bravo… La ruralité n'est pas forcément à la mode et quelquefois on moque le milieu rural, y compris les habitants qui y résident… Je vais vous dire ce que je ressens en étant ici. Ces rassemblements, des Saint-Laurent, comme d'ailleurs ceux des autres Saints en France, c'est le meilleur moyen d'une part de souder le milieu rural de notre beau pays de France, et surtout c'est de démontrer à nos compatriotes, que la ruralité c'est une idée moderne, indispensable pour l'équilibre de notre pays. Et je ne peux que vous féliciter de vouloir développer cette idée des rassemblements des communes et notamment des communes rurales. C'est pour cela que je vous dis un grand bravo et un très grand merci pour ce que vous faites, car au-delà de la fête, vous portez très haut les couleurs de la ruralité. »
« C'est une joie pour le député de cette région, de voir ce rassemblement amical de l'ensemble des Saint-Laurent de France. Et puis un grand bravo aux Saint-Laurentines et Saint-Laurentins du Brionnais. Et je sais que depuis 18 mois maintenant, ils travaillent d'arrache pieds, et surtout avec tout leur cœur pour que ce rassemblement 2009 soit une excellente rencontre familiale entre tous les Saint-Laurent de France et d'Outre-Mer et je voudrais leur dire un très grand bravo… La ruralité n'est pas forcément à la mode et quelquefois on moque le milieu rural, y compris les habitants qui y résident… Je vais vous dire ce que je ressens en étant ici. Ces rassemblements, des Saint-Laurent, comme d'ailleurs ceux des autres Saints en France, c'est le meilleur moyen d'une part de souder le milieu rural de notre beau pays de France, et surtout c'est de démontrer à nos compatriotes, que la ruralité c'est une idée moderne, indispensable pour l'équilibre de notre pays. Et je ne peux que vous féliciter de vouloir développer cette idée des rassemblements des communes et notamment des communes rurales. C'est pour cela que je vous dis un grand bravo et un très grand merci pour ce que vous faites, car au-delà de la fête, vous portez très haut les couleurs de la ruralité. »
Les élus et les personnalités locales à l'inauguration de la stèle le 4 juillet 2009
Chant des Saint-Laurent 2009.
La joyeuse chorale en chauffeur de salle…
Sur l'air de « Joyeux enfants de la Bourgogne ».
Joyeux enfants des Saint-Laurent
Bienvenue dans le Brionnais,
Quand je vois ces rassemblements
Je suis fier d'être laurentais.
Et je suis fier, et je suis fier
Et je suis fier d'être laurentin.
Et je suis fier, et je suis fier
Et je suis fier d'être laurentine.
- 1
Tout a commencé
A Saint-Laurent d'Cerdans,
Ce fut un tel succès
Qu'on r'met ça tous les ans.
Tous les coins de France
On a visité
Et même en Guyane
On s'est envolé.
- 2
Cette année c'est nous
Qui vous recevons.
Excitez votre goût
Par nos dégustations :
A l'apéro le Kir
Puis les escargots
Et pour vous réjouir
Pot-au-feu, entrecôte.
- 3
Dans notre village
Autour du vieux clocher
S'inscrivent dans l'paysage
Nos haies, nos murs, nos prés,
Si chacun pouvait
Au moment de partir
De notre Brionnais
Garder un bon souvenir.
Pour consulter l'album photo, cliquez ICI
Joyeux enfants des Saint-Laurent
Bienvenue dans le Brionnais,
Quand je vois ces rassemblements
Je suis fier d'être laurentais.
Et je suis fier, et je suis fier
Et je suis fier d'être laurentin.
Et je suis fier, et je suis fier
Et je suis fier d'être laurentine.
- 1
Tout a commencé
A Saint-Laurent d'Cerdans,
Ce fut un tel succès
Qu'on r'met ça tous les ans.
Tous les coins de France
On a visité
Et même en Guyane
On s'est envolé.
- 2
Cette année c'est nous
Qui vous recevons.
Excitez votre goût
Par nos dégustations :
A l'apéro le Kir
Puis les escargots
Et pour vous réjouir
Pot-au-feu, entrecôte.
- 3
Dans notre village
Autour du vieux clocher
S'inscrivent dans l'paysage
Nos haies, nos murs, nos prés,
Si chacun pouvait
Au moment de partir
De notre Brionnais
Garder un bon souvenir.
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